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 Une nuit d'octobre.

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Friendly-Curly

Friendly-Curly


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MessageSujet: Une nuit d'octobre.   Une nuit d'octobre. Icon_minitimeDim 4 Mar - 15:41

Spoiler:

Partie 1 – Une rencontre pas si anodine.

« - Hop Saltimbanco, hop on galope! »
Du pas, Saltim partit au galop, avec des foulées régulières. Les lapins, les renards et les hermines s’enfuirent en entendant cliqueter les fers du cheval sur les rares cailloux du sentier. Ce son se mélangeait avec le frottement des branches d’arbres entre elles et le gazouillement des petits oiseaux. Je pressais ses flans de manière à ce qu’il augment la cadence, entre temps nous rentions dans un chemin creux, appelé ‘allée du renard’. J’adore passer par là, on peut sentir l’odeur de la sève et le parfum des fleurs sauvage. Le passage était large de plus de trois mètre. Le sentier était parsemé de feuille morte, de différentes couleurs, toutes étaient cependant de la même nuance, du brun, du rouge, de l’ocre ou encore de l’orange. Une fois de plus, je demanda à mon cheval d’accélérer, de tel que des larmes coulaient de mes yeux. Le vent se frayant un chemin entre les troncs d’arbres sinueux et larges, venait frapper mon visage de plein fouet. Le bout de mon nez rougi de ce contact froid et rude, tout comme mes joues. Cette sensation de liberté, les cheveux qui volent au vent, j’ai cette envie de crier, d’exprimer mon bonheur. Il ne fut que de courte durée cependant, nous arrivions à la fin de notre course contre le temps. Il nous fallait ralentir, le chemin débouchait sur une petite route de campagne, très peu éclairée elle aussi. Je n’entendais rien, si ce n’était que le bruit de moteur, des voitures empruntant la route. En sortant du passage boisé, Saltim était tout aussi fou et nerveux qu’au début de notre ballade, pourtant, arrivant sur ses douze ans, j’aurais pu croire qu’il se calmerais ne serais-ce qu’un peu. Il commençait à trépigner, et voulait absolument continuer à foncer.
Foncer, c’est ce qu’il a fait quelques minutes après être sortit du bois. J’ai tout de suite aperçu un groupe de jeune, avec leurs motos allumé. Le groupe était composé d’une dizaine d’individu, ils devaient tous tourner autour de la tranche des seize/dix huit ans. Ils s’amusaient à faire pétarader leurs engins en marche, faisant un concours de celui qui vrombira le plus fort. Ils étaient sur une petite aire de repos, en gravier blanc, de l’autre côté de la route. Par terre, on pouvait trouver des mégots de cigarettes ainsi que des bouteilles de bière et d’autres alcools. M’ayant remarqué, je pensais qu’ils arrêter leur mascarade le temps que je passe, j’espérais un minimum de respect. Saltimbanco commençait à chauffer, je le sentais prêt à partir à tout moment. Il ne cessait de tirer sur les rênes, s’appuyer sur le mors, je n’arrivais pas à le retenir correctement ; les lanières de cuir glissaient entre mes mains moites. C’est en voyant que j’avais des difficultés à gérer mon cheval que la moitié des motards arrêtèrent de chauffer leurs motos. Mais l’autre moitié, jouissait de ma maladresse mêlée à l’énervement de l’animal. Ils s’amusaient à me voir flancher sous la puissance de mon cheval. Ils commencèrent même à intensifier le boucan que dégageaient leurs bécanes flamboyantes. Elles étaient quasiment toutes noirs, quelques unes d’un rouge vermillon et d’autres jaunes encore. Une seule avait les pigments du blanc, un blanc cassé. Elle était située légèrement à l’écart des autres, sur sa grosse béquille.
Entre temps, tous me dévisageaient d’un air grave lorsque Saltimbanco commença à remuer de tous les côtés. Il s’agitait comme s’il était sur un champ de course, surtout qu’un hispano-arabe, ça ne cours pas. J’essayais tant bien que mal de calmer la bête en furie, je lui disais entre deux respirations de se calmer. Nous avions presque dépassé le groupe de jeunes imbéciles lorsque qu’une détonation survint, Saltim’ se cabra tel un cheval déchaîné, il recommença, mais cette fois-ci plus violemment, il m’envoya valdinguer sur le bord de la chaussée.
J’entendais le bruit de ses sabots claquer sèchement contre la route se fondre dans la masse du bruit qui avait surgit. J’avais mal à la tête que je n’avais pas protégé d’un casque. Mon dos me tirait et mon bras gauche me brûlait, une douleur sortie du fin fond de ma colonne vertébrale avant de se propager dans tout mon corps. Je percevais des pas arriver dans ma direction, des voix se rapprocher. Ma vue s’obscurcissait, je ne voyais plus rien.
Avant de sombrer, j’entendis ces quelques mots ;
« - Tiens bon ! On envoie une ambulance, tiens bon ! »




Partie 2 – Une discussion ardente !


Mon mal de crâne est toujours aussi douloureux que la dernière fois… Oh mon dieu !
« - Saltimbanco !!! Criais-je, me remémorant une partie de ce qui s’était passé avant que je tombe dans les pommes.
- Du calme Eléonore, il est à l’écurie, il n’a rien. »
Ca, c’était ma mère, elle était debout près de mon lit, s’était approcher de ma tête pour me murmurer des mots apaisants. En face de moi, mon père faisant les cent pas dans la minuscule chambre d’hôpital s’était arrêté, et me regardait d’un air grave. Il s’approcha de moi pour voir comment j’allais, je lui avouais que c’était pas mieux qu’il y avait deux minutes. Bref, ils appelèrent une infirmière qui changea ma poche d’eau, et qui leurs demanda de faire vite car j’avais sois disant besoin de repos. Pff tu parles, je veux sortir de là moi !
« - Racontes-nous ce qui s’est passé ma chérie, me demanda maman.
- Tu n’avais pas ton casque, encore ! » Intervint mon père, qui commençait à s’énerver.
Et il sortit avant même que je puisse lui dire un mot, me retournant vers ma mère, je lui comptais ce qui m’étais arrivé, elle ne me coupa pas une seule fois et me laissa finir avant de me dire ;
- Il y a un de ces jeunes qui nous a avertit, il nous a appelé à la maison après avoir cherché dans le répertoire de ton portable. »
Il a aussi, avant tout appelé une ambulance qu’il a lui-même payé, et il refuse que nous le remboursions, dit ma mère sur le ton de l’amusement.
« - Mais comment avez-vous fait avec Saltim’ ? Lui demandais-je une seconde fois.
- Quelques uns de ses amis ont réussi à l’attraper dans un champ un peu plus loin d’où tu es tombé, et ils sont revenus sur leur pas. Ils étaient tous autant en sueur que le cheval, c’était vraiment drôle à voir !
- Il n’a rien du tout alors ?! Et moi, qu’est ce que j’ai ?! »
Elle m’expliqua calmement que je n’avais rien de fracturer, que j’avais seulement eu la malchance d’avoir un traumatisme crânien.
Quelques minutes de silence passèrent, jusqu’à ce que ce mon père décide de rentrer à nouveau dans ma chambre. Il était partit fumer dehors pour se calmer et était allé par la suite acheter des boissons ; deux cafés pour lui et ma mère et un jus d’orange pour moi.
Je suis restée endormie pendant plus de dix sept heures tout de même. Heureusement qu’aujourd’hui (dimanche), ils ne travaillaient pas, car je me demande comment ils auraient fait pour leurs boulots et pour Sarah, ma petite sœur qu’il aurait fallut envoyer à l’école.
Avec Sarah, on a huit ans d’écart, elle en a neuf, et moi dix sept ans. C’est une petite sœur collante mais adorable, elle est blonde aux yeux verts pétillants. Elle a les yeux de son père et les cheveux de sa mère. Quant à moi, j’ai les cheveux châtains, avec des reflets roux. J’ai les yeux pigmentés de vert et de bleus. Etant donné qu’elle est encore assez jeune, les parents l’ont laissé dormir à la maison, sous la surveillance de notre gentille voisine. Cela faisait à peine quarante minutes que je m’étais réveillée qu’il fallait déjà que je me repose, deux infirmières firent sortir mes parents un peu trop brusquement à mon goût.
Les heures passèrent alors que je m’abrutissais à regarder des émissions sans queues ni têtes. Quand quelqu’un frappa à la porte de la chambre, enfin de la visite ! Je ne fis pas attendre la réponse ;
« - Entrez ! »
Je m’étais trompée quand je croyais que c’était les parents qui arrivaient, non, non, c’était un beau jeune homme de grande taille. Il avait la peau cuivrée, ses cheveux hérissés sur son crâne étaient aussi noirs que l’ébène. Il avait la mine tirée, ses yeux bruns étaient ternes et vides, son nez droit descendait au dessus d’une paire de lèvres fines qui se tordirent pour laisser place à un sourire sans vie. Il s’approcha de mon lit d’un pas hésitant et me tendit un bouquet de fleurs. Je le gratifia d’un sourire gêné et lui montra où poser les fleurs roses.
Il s’avança vers moi et me dit d’une voix basse en tendant la main droite vers moi ;
« - Melvin, enchanté ! »
Moi, restant le regarder sans lever le bras, je lui demande ;
« - J’ai beau connaître ton prénom, je ne sais toujours pas qui tu es…
- C’est moi qui ai appelé une ambulance après ta chute, m’expliqua-t-il en s’asseyant dans le fauteuil.
- Donc tu étais avec ces gens puérils qui se sont amusé à faire peur à mon cheval et qui ont réussi à provoquer un accident !
- Non mais…
- Vous êtes inconscients ou quoi ! J’aurais pu crever sur cette route !
- Je sais…
- Tu passes souvent tes journées à faire ce genre de conneries ? Tu trouves ça divertissant peut être ?
- Putain mais laisse moi en placer une, me dis-t-il en se levant brusquement du siège. Oui j’étais avec ces mecs, oui ils sont inconscients, et ils n’auraient pas du faire ça, oui ils le regrettent, et pour finir, non je ne passe pas mon temps à provoquer des accidents ! Figure-toi ! »
Je m’étais mise à pleurer, je n’avais pas envie de continuer à l’écouter me hurler dessus ;
« - Putain mais dégages ! Dégages, je te hais toi et toute ta bande, va-t-en !
- Mais…
- Fou le camp je veux plus te voir ! Ce n’est pas compliqué à comprendre ! »
Et il s’en alla en claquant la porte, laissant tomber un bout de papier. Ayant séché mes larmes, j’entrepris de me lever, c’était une assez compliquée lorsqu’on est bourré de médocs’ pour ne pas avoir trop mal à la tête. Mes jambes flageolaient et menaçaient de céder. J’arriva tout de même à ma destination, je m’accrocha du mieux que je pu au mur en me laissant glisser tout doucement. J’aurai pu me relever et me lover dans mon lit d’hôpital, mais je restai là, sur le sol froid et dur, hésitant à ouvrir la feuille pliée.




Partie 3 – Un rêve pas si anormal.

De toute façon, il ne sera pas que je l’ai lu. Mais je mens si mal, s’il me demande si je l’ai ouvert, je vais rougir… Oh et pis, c’est sûrement sans importance !
‘’ 2sachets. Torino. Salle de sport. Muscu. ’’

« - Mais… ? Eléonore, qu’est ce tu fou par terre ?!
- Oh ! Alice ! Tu es là ?! Mais… Il est quelle heure ?!
- Pas loin de sept heures, m’avoua-t-elle.
- Ah oui, punaise j’ai pas vu le temps passer !!
- Et tu faisais quoi au sol, une partie de cache avec les moutons de poussière ? Ah ah !! Allez, lève-toi ! »
Elle me pris le bras et m’aida à remonter la pente. Enfin assise sur mon lit, avec Alice à mes côtés, je lui conta, comme à ma mère ce qu’il s’était passé, sans lui parler de ma rencontre et altercation avec Melvin. Je n’avais pas osé lui raconter ce que j’ai pu lire sur le morceau de papier qui était malencontreusement tombé de sa poche… Elle m’expliqua que Sofia, Louise, Thomas et Alex’ ne s’étaient pas déplacés car ils avaient encore une fête à plus d’une heure de route. À vrai dire je m’en fichais un peu, beaucoup même. Je me demandais ce que voulais dire ce charabia sur le papier. Heureusement qu’Alice ne l’a pas vu… Je n’ai pas envie de la mêler à ce mystère.
Elle resta près d’une heure avec moi, nous discutions de tout et de rien… De ma sortie de l’hôpital, demain soir. Elle me donna aussi un papier à remettre à mes parents, pour une sortie au tribunal de grande instance à Guingamp prévue l’après-midi du lendemain. La ville était à environ une demi heure de route de notre lycée. Alice m’expliqua qu’ils allaient séparer la classe en deux groupes, l’un prendra place dans le tribunal, tandis que l’autre ira visiter la ville et son histoire et l’inverse quelques heures après. Ca allait être trop re-lou, mais bon. C’est pour notre culture ! Ma meilleure amie, et sûrement la seule devait partir, non seulement il était déjà huit heure passée, mais il faisait déjà nuit. À défaut de prendre le bus, elle appela son père pour qu’il vienne directement la chercher à l’entrée de l’hôpital. Elle m’embrassa et partie.
Me retrouvant seule, j’entrepris de redéballer le morceau de papier. Qu’est ce que pouvait bien signifier les deux paquets, paquets de bananes ? De sucre peut être… Ou alors… Non, pas de ça. Ce n’est pas possible.
Je passa le reste de la soirée à zapper les chaînes de télé en mangeant, avant de m’échapper dans un sommeil profond.
Après avoir quitté l’hôpital, je remarquai que quelqu’un me suivait, j’étais seule. Mes parents ne pouvaient pas se libéré, ils devaient tous deux rester à la maison surveillé Sarah. Les taxi se faisant rare ce soir là, je choisi de rentrer à pied. À peine quarante minutes de marche. J’allais être en retard pour le dîner.
J’avais peur, l’homme se rapprochait de moi, il était à moins de quinze mètre derrière moi. Je me mis à courir, il fit de même. Les passants que je croisais sur mon chemin n’avaient pas l’air de s’inquiéter pour moi, je pleurais et hurlais de toutes mes forces, l’homme semblait à bout de souffle, il ralenti, s’arrêta puis disparu. À ma grande surprise, j’en fus plus paniquée. Puis je me retournai, il était là. Avec deux autres personnes du même sexe. Ils se rapprochaient dangereusement de moi. J’étais tétanisée, je ne pouvais plus bouger. La seule chose que je pus faire c’était de hurler. Hurler jusqu’à perdre mon souffle, jusqu’à sentir mes poumons en feux…
Je me réveillai. Seule, en sueur. Ce n’était qu’un mauvais rêve. Mon pouls était rapide. Mon cœur battait encore plus vite. Je remarquais que la fenêtre de ma chambre était anormalement ouverte, ainsi que ma porte entrouverte. Il était encore tôt, dans la nuit, mais je n’essayai pas de me rendormir. Je me demanda pourquoi personne n’était venu me voir, j’avais du faire un de ces boucans. Et pourtant personne à l’horizon. Je mis ma main sous l’oreiller, en entreprenant de savoir l’énigme à l’abris des regards indiscrets, il avait disparut.

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MessageSujet: Re: Une nuit d'octobre.   Une nuit d'octobre. Icon_minitimeLun 5 Mar - 17:57

Un mot : J'adooooooooooooooooooooore ! Une nuit d'octobre. 2176505670
Je veux la suite, la suite ! Une nuit d'octobre. 4111013633
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MessageSujet: Re: Une nuit d'octobre.   Une nuit d'octobre. Icon_minitimeLun 5 Mar - 18:22

Hihi ! Meeurchi :3
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MessageSujet: Re: Une nuit d'octobre.   Une nuit d'octobre. Icon_minitimeMar 6 Mar - 17:06

Raah mais ils sont trop cons d'énerver le cheval exprès !

gné C'est quoi le papier?? Oh je sais! Il doit acheter deux paquets de pâtes, ensuite il va à Turin dans une salle de sport pour faire de la muscu, sauf qu'au lieu des haltères il utilise les pâtes !

* Désolée* Une nuit d'octobre. 1929618906
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MessageSujet: Re: Une nuit d'octobre.   Une nuit d'octobre. Icon_minitimeMar 6 Mar - 17:57

Une nuit d'octobre. 1415835522
C'est une explication crédible ! Ahah ! Mais c'est pooo la bonne x)
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MessageSujet: Re: Une nuit d'octobre.   Une nuit d'octobre. Icon_minitimeMar 6 Mar - 18:18

Tu devrais ecrire un livre en corrigeant quelque faute se serais encore plus génial !!!
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MessageSujet: Re: Une nuit d'octobre.   Une nuit d'octobre. Icon_minitimeMar 6 Mar - 18:38

Ahah, merci Cloclo !
Des fautes ?! Où ça ?!!!
-Putain de correcteur automatique...- Oups, vous étiez là ? Une nuit d'octobre. 2066584637
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MessageSujet: Re: Une nuit d'octobre.   Une nuit d'octobre. Icon_minitimeMar 6 Mar - 18:56

Une explication crédible?!
C'est gentil Une nuit d'octobre. 4111013633

( moi j'aurais dit:" Mais t'es trop conne! C'est complètement debile !" Je suis méchante....)
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MessageSujet: Re: Une nuit d'octobre.   Une nuit d'octobre. Icon_minitimeMar 25 Juin - 21:49

c'est quand la suite ?
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MessageSujet: Re: Une nuit d'octobre.   Une nuit d'octobre. Icon_minitime

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