Ceci n'est pas une banane, mais un quiproquos.

Bon et bien je suis revenue pour votre plus grand malhe- bonheur !:D

Voici une fic contenant des Drabbles axés sur plusieurs «couples». (Mais ne vous y fiez point, car moi, sadique je suis honhonhon~)

J'espère que vous apprécierez mon humour pourri ! XD

Disclaimer : Hetalia ne m'appartient pas, sinon vous en aurez entendu parler ! Tout appartient au génial Hidekaz Himaruya ! (Sauf cette fic, elle est à moi !)

Rating : K, Rien de choquant. Enfin je crois. ._.

Pairing : Gerita.
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Il faisait extrêmement chaud ce jour-ci. Mais la chaleur n'est rien lorsque vous n'êtes pas sur une île du Sud, perdu au beau milieu de la mer, avec le soleil qui vous grille le cerveau dès que vous avez le malheur de sortir de votre coin d'ombre. C'était la situation dans laquelle étaient Allemagne et Italie, qui on ne sait comment, avaient encore réussit à atterrir sur la même île déserte après avoir tenté d'échapper aux membres Alliés. Ils étaient seuls sur le sable brûlant, Japon étant parti quelques minutes auparavant pour trouver de quoi manger.

-Vee... Il fait trop chaud ici... Même en plein été, il fait pas aussi chaud à Venise... Se plaignit le petit Italien.

-Garde ta salive au lieu de te plaindre inutilement, déclara Allemagne en s'essuyant le front, ce n'est pas comme si on était dans les tranchées en train de se faire bombarder, on a connus pire...

-Je sais bien mais j'ai trop chauuuuuuud ! J'ai faiiiiiim ! Pourquoi Japon revient paaas ? Se mit-il à pleurnicher.

-Je t'ai dit d'arrêter de brailler ! Il est pas mort, il s'est sans doute perdu en voulant retourner ici...

-MAIS COMMENT ON VA FAIRE S'IL S'EST PERDU ? ON VA MOURIR DE FAIM ET ON VA SE DESSECHER ! JE VEUX PAS MOURIR ICI ! Veeeee !

Il se mit à pleurer et à taper du poing par terre, comme le font les enfants lorsque leurs parents refusent de leur acheter le nouveau jouet qu'ils ont repéré en solde chez Toys'r'us. Il fit une sorte de danse bizarre, mêlée de gémissements et de nombreux tortillements sur le sol, salissant son T-shirt blanc au passage. Il aurait sans doute pu faire une brillante carrière dans le nettoyage comme serpillière. Avec comme Slogan : Serpitalie, nettoyage Italien Express !

Après avoir regardé d'un air blasé son allié se tortiller tel un vers de terre, l'Allemand l'agrippa par le col et le jeta à la flotte, histoire de lui rafraîchir un peu les idées. (A moins qu'Allemagne voulait passer la serpillière sur la plage, vu qu'on trempe bien une serpillière dans l'eau pour faire le ménage...)

-Blourg... Glou... Alleblagnoubloub...

-C'est bon, tu as finit ton cinéma ?

Italie sorti de l'eau, vaincu.

-Oui, c'est bon. Ve... Tu es tellement méchant Allemagne... Déclara t-il en laissant sortir un poisson de son Short.

Il s'avança sur le sable, et s'assit jambes croisées. Il fit mine de bouder en regardant fixement la mer comme si c'était la plus belle chose au Monde. Allemagne fixa quelques instants le petit brun; ses cheveux gouttaient, ses joues étaient rougies par la chaleur. Il avait les yeux mis-clos, d'un doré lumineux. Ses vêtements mouillés collaient sur son corps et permettaient de voir sa peau légèrement halée, de fines gouttelettes glissant lentement le long de ses cuisses à moitié couvertes.

Le grand blond ne pouvait plus détacher son regard du jeune Italien , sa bouche restait ouverte, totalement subjugué par la vision qu'il avait devant lui. Il venait de s'apercevoir qu'Italie était beau. En fait non, il le savait déjà, mais il n'avait jamais vraiment l'occasion de regarder aussi ouvertement le jeune homme, vu qu'il était rare qu'ils soient tous les deux seuls...

-Ve, pourquoi tu me regardes comme ça Allemagne ? Demanda t-il en voyant son compagnon la bouche grande ouverte, tellement ouverte qu'on se demande comment elle faisait pour ne pas se décrocher.

-Que... RIEN DU TOUT ! Hurla t-il, rouge de gêne de s'être fait prendre en plein matage. Enfin matage, matage... Il admirait, rien de plus. Il n'avait aucune pensée malsaine, non non. Pas même de voir Italie en tenue de serveuse lui préparé à manger pour-

-Allemagne ?

-NON NON JE N'AI RIEN FAIS DU TOUT, RIEN DU TOUT ! JE N'AVAIS AUCUNE PENSEE MAL PLACEE ALORS ON OUBLIE CA, D'ACCORD ?

-... Ve...

-...

-...

-...

-...

(L'auteur : Qui a écrit ce scénario ?)

-...

-Ve... D'accord, on oublie, même si j'ai pas tout compris...

L'allemand s'essuya le front, rouge comme une pivoine. Quelle idée avait-il eu de hurler ce genre de chose, surtout à Italie ? Il fallait vraiment qu'il se calme... Il soupira pour la énième fois de la journée, la gorge sèche.

-Japon en met du temps quand même, je ferais peut-être mieux d'aller le chercher... Déclara le grand blond, voulant changer de conversation.

-Hein ? Tu disais ? Demanda le petit brun en ouvrant une bouteille d'eau.

Il porta la goulot à sa bouche, et but quelques gorgées. Allemagne regarda avec une lueur étrange dans le regard le filet d'eau qui coulait lentement sur la bouche rosée de l'Italien, puis descendit son regard sur son cou bronzé, puis finalement sur son torse. Il faisait horriblement chaud tout-à-coup... Allemagne se lécha les lèvres, le regard fixe, les joues rosies. Il s'avança lentement de l'Italien, son regard toujours fixé sur la bouteille d'eau.

"J'en peux plus, depuis le temps que j'en avais envie..." Pensa t-il intérieurement.

Il agrippa les épaules du jeune Italien, son souffle se perdant dans le creux de sa nuque. C'est alors qu'il avança le bras pour...

...

...

...

...

... Arraché des mains la bouteille d'Italie et boire à grandes gorgées l'eau fraîche qu'elle contenait.

-Mais tu te rends pas compte à quel point je me suis retenu depuis tout-à-l'heure ? Je crève de soif et toi tu renverses de l'eau partout ! T'as pas honte ?




Japon, dans les buissons, se plaqua la main contre le visage, totalement désespéré. Il avait fait tout ça pour rien... Il rangea son appareil photo en se disant que les Occidentaux étaient vraiment incompréhensibles.
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Et me revoici pour un nouveau chapitre ! :D

Disclaimer : Hetalia ne m'appartient pas, sinon vous en aurez entendu parler ! Tout appartient au génial Hidekaz Himaruya ! (Sauf cette fic, elle est à moi !)

Rating : K, Rien de choquant. Enfin je crois. ._.

Pairing : AmeRus.

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C'était un jour paisible, ensoleillé et où les oiseaux chantaient. La salle des réunions internationales était fermée aujourd'hui, et la majorité des Pays étaient chez eux à l'heure qu'il est. Sauf Amérique et Russie, qui s'étaient tous les deux donnés rendez-vous, sans doute pour se vanter auprès de l'autre de leurs nouveaux exploits en matière d'économie ou de politique. Le jeune Américain attendait devant un bâtiment luxueux, regardant autour de lui. Il était dans une tenue en lin, veste et pantalon beige, d'une grande classe. On voyait qu'il avait soigné sa tenue, ce qui n'était pas dans ses habitudes. Sûrement pour impressionner Russie. Il regarda à sa Howard l'heure qu'il était. Elle affichait 13H23.

-Dude, cet abruti de communiste est en retard. Je suis sûr qu'il le fait exprès pour m'énerver ! On devait se rejoindre ici à 13H pile, et lui ne-

-Привет Amérique ! Lui dit une voix guillerette derrière lui.

-AAAAAAAH ! UN EXTRATERRESTRE ME PARLE ! Hurla le jeune homme à lunettes.

Il se retourna vivement pour faire face à... Ah. Russie. Celui-ci avait un immense sourire sur le visage, son faux-air enfantin de toujours. Il portait une grande veste marron, un pantalon en lin noir et son écharpe habituelle, qu'Ukraine lui avait offert. Malgré la différence de couleur entre ses vêtements, Russie avait une grande classe. Amérique le regarda incrédule, une goutte de sueur sur le visage.

-Abruti ! Pourquoi tu surgis derrière les gens comme ça ? Tu te rends pas compte que j'aurais pu mourir d'une crise cardiaque ? Surtout en me parlant je ne sais quelle langue... Dit-il en soupirant légèrement.

-C'est du Russe. Ca signifie «Bonjour» ou «Salut». Je ne voulais pas t'effrayer tu sais ! Déclara le grand blond d'un sourire chaleureux.

-Mouais... Enfin de toute façon, le Russe c'est has been, ça vaudra jamais the american ! Parce que c'est la langue d'un Héros, tout simplement... Dit-il des étoiles scintillants autour de lui.

-Tu me fais toujours autant rire, avec tes discours ridicules

-Fuck, ils sont pas ridicules d'abord ! Et je peux savoir pourquoi t'es en retard ?

-En retard ? Qu'est ce qu'il te fait dire ça~ ?

-You know it ! Regarde l'heure qu'il est à ma montre !

Il montra sa Howard au Russe.

-Mais Amérique... Tu as mal réglé ta montre... Il est 12H59 à la mienne.

-QUOIII ? Je suis sûr que tu mens ! It's a lie ! Tu inventes un prétexte pour me faire croire que t'es pas arrivé en retard, alors que si !

-On y va ? Demanda Russie sans faire attention à la remarque de son compagnon.

-Réponds quand le Héros te parle ! Hurla Amérique en battant l'air de ses bras.

-Kolkolkol~ Fut la seule réponse de Russie, une aura menaçante l'entourant.

Amérique, tenant à la vie, décida de suivre le grand Blond sans plus de commentaire. Ils entrèrent donc dans l'énorme bâtiment blanc, l'un à côté de l'autre. Une personne normale n'aurait pu sentir l'énorme tension électrique régnant dans l'air. Les deux Pays marchaient côte-à-côte, sans mot dire, mais se fixaient du regard quelquefois, cherchant à voir lequel des deux tiendrait le plus longtemps la joute visuelle. Les deux hommes arrivaient finalement dans une salle assez luxueuse. Une grande table en ébène était au centre de la pièce avec des sièges en cuir blanc repartis autour de celle-ci. Un lustre en cristal pendait au plafond et éclairait d'une agréable lumière blanche. Russie s'assied sur un fauteuil et faisait signe à Amérique de s'asseoir à côté de lui, ce qu'il fit.

-Bien, comme tu t'en doutes, nous sommes ici pour parler affaires~

-Oui, je sais. Répondit l'Américain, d'un air sérieux inhabituel.

Russie s'approcha de son rival, et lui murmura à l'oreille :

-Que dis-tu de faire une petite comparaison de taille~ ?

-What ? S'exclama l'Américain.

-Tu m'as bien entendu Amérique. Je veux savoir lequel de nous deux a celle qui est la plus grosse~

-DUDE ! TU TE FOUS DE MOI, C'EST CA ? EVIDEMMENT QUE C'EST LA MIENNE !

-Que tu es drôle~ Ca me fait vraiment rire de te voir aussi enthousiaste, malgré le fait que c'est moi qui gagne de toute manière...

-C'EST CE QU'ON VA VOIR !

Ils restèrent enfermés une bonne heure dans la salle, des cris et des bouts de paroles de faisant entendre quelquefois. Angleterre avait eu vent de la «petite réunion amicale» entre son ancien protégé et le grand Russe. Il se dirigea alors vers le grand bâtiment d'un pas sûr.

-Bon sang, je suis certain que ça va encore finir en Guerre Froide leur histoire... Soupira t-il pour la énième fois de la journée.

-Alors ? Demanda Russie d'une voix suave, le visage proche de son rival.

-...C'est pas possible...

-On dirait bien que j'ai gagné. La tienne a une taille ridicule Amérique ! S'amusa t-il.

-JE TE CROIS PAS ! C'EST... C'EST UNE ARNAQUE ! TU PEUX PAS EN AVOIR UNE PLUS GRANDE QUE MOI ! OUINNNNNNN ! Hurla l'Américain, s'enfuyant en courant de la salle.

Il failli percuter Angleterre, totalement ahuri de l'apercevoir dans cet état.

-Qu'est ce qu'il s'est passé ? Qu'est ce que tu lui a fait encore ? Demanda l'Anglais.

-Moi ? Et bien on a simplement voulu comparer la taille de notre plus grosse fusée, et j'ai encore gagné !
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Mwahahahaha! Dans le genre douteux.... c'est réussi! Surtout l"Amerus!

J'adore !!

Merci beaucoup Cloclo !

J'espère vous satisfaire quand je publierais la suite ! ^^